• Moi, je veux voyager. Visiter le monde. Rencontrer des population, des cultures, je veux croire que je suis pas la seule à penser comme ça. Je veux tout voir de mes propres yeux, arrêter de me fier au journal de 20h. Avec tous ces horschamps qu'on nous montre pas pour pas nous effrayer.  Je veux voir le monde, tout simplement. Le bonheur comme le malheur. Le monde tel qu'il est.


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  • Le casque sur les oreilles. Le volume de plus en plus fort. La misère du monde de moins en moins audible. Étouffée par les première note, qui s'échappent doucement. Des enfants affamés d'un côté, des terroristes de l'autre, et on entends rien. Enlever le casques? Hors de questions! Comment être heureux, quand des plaintes, d'humains désespérés, fusent de tous les côté? Alors on monte le son, on danse, on crie, on rie toujours plus fort. Et plus le volume est élevé, plus l'humanité disparaît. 


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  • "Désormais la vie t'appartient, rien ne te sera impossible si tu le désires vraiment." - Marc Lévy - Mes amis mes amours

    Courir toujours plus loin. Ne surtout pas s'arrêter. Courir pour s'enfuir, courir pour survivre. Courir après ces rêves subtils, de ceux qui la maintiennent en vie, de ceux qui la font garder espoir. Cette petite flamme qui brûle encore en elle mais qui menace de s'éteindre à chaque nouvelle désillusion. Alors courir à en perdre le souffle, courir pour évacuer le stress qui la ronge.Courir pour fuir la douleur, pour oublier sa misère un petit moment. Elle fuyait le doute, elle fuyait sa honte. Elle courait pour échapper à ses choix, elle courait pour partir loin de tout ça. Elle ne voulait plus subir, elle ne voulait plus souffrir. Elle avait grandi dans la peur de ne pas être acceptée, dans la peur du doute. Elle était une gamine qui avait souffert et qui aujourd'hui voulait être libre. Elle voulait à son tour avoir droit à la chance d'être heureuse et ne plus dépendre du bonheur des autres. Alors elle courait, encore et encore, sans jamais s'arrêter pour laisser derrière elle son passé. Elle allait en finir avec ce mal qui la hantait depuis si longtemps, elle allait se battre. Elle savait que les plus forts ne sont pas ceux qui gagnent à tous les coups, mais ceux qui ne baissent pas les ras alors qu'ils ont perdu. Elle courait pour gagner, chaque kilomètre en plus la rapprochant de la victoire. Portée par la rage de vaincre elle continuait malgré la douleur des mauvais jours. Elle ne se cherchait pas d'excuses, car les excuses ne la mèneraient nul part, alors elle courait, simplement. Elle courait pour elle, mais aussi pour ceux qui l'avaient toujours soutenue, elle voulait leur montrer qu'elle en était capable, qu'elle n'était pas une lâche. Elle s'était promis d'y arriver, et cette fois, elle tiendrait sa promesse.

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  •  "Gardons aussi à l'esprit que nous sommes seuls, que nous sommes nés seuls et que nous mourrons seuls." -Frederic Lenoir

           

     

    Les hommes sont fous. Une affirmation, une déclaration, une réalité. Dirigés par une société sans limites, ils meurent sans avoir vécu. Des enveloppes charnelles qui ont perdues leurs âmes, des corps vides sans une once de vie. Voilà ce qu'il en reste, nous en sommes là où l'idéologie nous a menée.

    -to-write-love-on-my-arms


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